ART /

Les Hydropathes (1878 -1880 et 1884)

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Publié le 20 juin 2012
Série Pataphysique

Sur un fond sonore mixmédia : la voix d’Aristide Bruant (1851-1925) le célèbre chansonnier de la Butte Montmartre entrecoupée d’extraits d’Entr’actes (1924) le film de René Clair et Francis Picabia qui dialoguent aléatoirement avec un dessin animé de Tex Avery (1908-1980), ce nouveau podcast fait la part belle à l’esprit dilettante et au rire farfelu. Michel Giroud bute sur un mot central : OH, interjection qui sera répétée plusieurs fois au fil de ces sept minutes ! Minute papillon! Tel un lépidoptère, se métamorphosant sans cesse, il passe d’un livre à l’autre, d’un mot à l’autre, d’un geste à l’autre, d’une danse à l’autre…

 

Durée :  7 min 08

Michel Giroud et Eric Bernaud (réalisation)

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Tristan Tzara (1896-1963)

Publié le
Série Dada

Dans ce nouveau podcast « dada », Michel Giroud déclame un manifeste de Tzara rédigé le 23 mars 1918. Documents d’époque en surimpression se superposent sur un coloris bleuté et sons de trompette en ouverture et clôture de lecture… En avant !
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PIET MONDRIAN ( 1872-1944)

Publié le 21 juin 2013
série De Stijl

Dans ce podcast, Michel Giroud décortique le « continent » Mondrian en réalisant deux de ses tableaux et reproduisant les gestes et la pensée du co-fondateur de De Stijl. On y croise tour à tour Bach, Chevreul et sa théorie des couleurs (1828), Grasset, Antheil, Satie et Cage… D’étonnants recoupements opérés avec brio par un dispositif simple et [...]
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Eugène Grasset (1845-1917)

Publié le 23 mai 2013
Série Arts décoratifs

Dans ce podcast Michel Giroud feuillette la « Méthode ornementale » de Grasset. La caméra placée en plongée pendant le tournage dévoile au fur et à mesure chacun de ses mouvements et donne à ce module un ton très visuel et pédagogique. Cette nouvelle introduction aux avant-gardes révèle en quoi ce texte fondamental pour le design paru [...]
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Paul Cézanne (1839-1906)

Publié le 21 mars 2013
Série Cubisme

Dans ce nouveau podcast, Michel Giroud s’incruste dans la Montagne Sainte-Victoire : ciel, sons environnants et fumées traversent l’écran et défilent tel un tableau vivant forcément insaisissable. A travers quatre lectures précautionneusement choisies (Mauclair, Ramuz, Malévitch et Murray), il commente la vie silencieuse* d’un peintre qui aura su peindre la Nature comme aucun autre.